Janvier 2017 : lancement initial du projet “Précarité énergétique à l’adresse”
Réunion sur le sujet de la précarité énergétique à l’adresse
Qui dit nouvelle année, dit nouveau départ. Le terreau est propice pour les nouvelles résolutions et les aspirations de namR pour accélérer la transition énergétique fleurissant de plus belle. Pour la petite équipe, il est temps de passer d’une échelle large (la maille Iris) à celle plus affinée du bâtiment. Le défi est important, puisqu’il s’agit de composer avec des données toujours plus nombreuses et plus complexes, c’est ainsi que le projet “Précarité énergétique à l’adresse” commence.
Pour ce premier tour de table, l’équipe de namR n’est pas seule. D’autres acteurs ont été conviés pour alimenter la réflexion. Il y a notamment des cabinets conseils, à l’image de Keyrus, une société spécialisée dans les data sciences.En fonction des éléments, elle peut mobiliser ses experts pour réaliser différents projets.
Pour les 6 équipiers de namR, l’objectif de la réunion est double. D’une part, il faut trouver des solutions pour maîtriser les nouvelles données à l’échelle du bâtiment. D’autre part, il faut briller dans la présentation du projet pour convaincre Keyrus et s’adjoindre son expertise pour entamer une collaboration de plusieurs mois.
La précarité énergétique, une difficulté plus importante que prévue
Durant la réunion, les membres de namR réalisent rapidement qu’ils sont en avance sur le traitement des données à l’échelle du bâtiment par rapport aux autres acteurs conviés à la table. Par ricochet, la start-up à 6 têtes comprend qu’elle va devoir se débrouiller en solo durant la période de janvier à avril.
Effectivement, travailler avec des données météo ou des données géographiques est une chose, mais composer avec des données plus fines et plus nombreuses pour toucher l’échelle du bâtiment en est une autre. Le passage au grain le plus fin de l’émeri nécessite un supplément d’expertise.
À l’époque, c’est sans doute cette révélation qui a poussé Gaël à intégrer l’équipe de namR pour de bon et qui l’a motivé pour créer le pôle data qui compte une dizaine de personnes aujourd’hui. En filigrane, l’analyse de la précarité énergétique « à l’adresse » se profilait comme un enjeu capital pour l’entreprise, nonobstant les coûts engendrés. Si le passage de la maille IRIS à l’adresse se révélait coûteux, il était aussi très intéressant d’un point de vue retour sur investissement.
Ce qui a posé les fondations de namR
In fine, cette réunion de rentrée a renforcé les bases de l’entreprise florissante qu’est namR aujourd’hui, puisque l’analyse data est devenue sa principale activité. C’est également ce changement de cap qui a amené la start-up vers l’une de ses plus grandes réalisations : le Digital Twin, alias jumeau digital.